mercredi 30 juillet 2014

Voyage en Nouvelle-Zélande, jour 10

Il fait beau quand je me réveille, mais le temps se couvre avant que je parte, alors aujourd'hui ce sera pantalon... et bien sûr, maillot de bain.
Je charge la valise et laisse la voiture sur le parking, le point de départ du bateau n'est pas loin. Quand j'arrive, on me fait remplir un questionnaire, puis une dame me regarde de haut en bas avant de me tendre une combinaison de plongée. Pile la bonne taille : elle a l'oeil. Nous sommes nombreux, presque une vingtaine. On nous confie masques et tubas, et on se dirige vers le bateau. En route ! Nous naviguons longtemps, j'ai perdu la notion du temps, ma montre et mon téléphone sont à l'abri de l'eau. Pas moi par contre. Je reste le plus souvent à l'intérieur de la cabine, j'ai froid. J'ai comme un mauvais pressentiment, l'impression qu'on ne verra pas de dauphins aujourd'hui, surtout quand j'entends, de la guide, un truc du genre "c'est pas un bon jour". Mais heureusement, je me trompe. On finit par croiser un petit groupe de dauphins Hector. C'est une espèce protégée, alors eux, on n'a pas le droit de les déranger. Nous continuons de chercher un nouveau groupe, naviguant de baie en baie. Quand au bout d'un moment, j'entends "Finally !" Ah, c'est plutôt bon signe, ça. Et c'est un grand group, cette fois, il y en a partout, devant le bateau, sur les côtés, derrière... Ce sont des dauphins Bottlenose.

Après un dernier briefing rapide et la confirmation du pilote, c'est bon, tout le monde à l'eau. Les yeux grands ouverts derrière mon masque embué, je tourne sur moi-même en espérant apercevoir quelque chose, et comme on nous a dit, je chante dans mon tuba. Et je les entends. J'entends leur sonar (enfin je crois bien que c'est ça). C'est beau. Ils sont tout autour, par-ci, par-là. Une famille - ou du moins, deux grands et un petit - passe juste en-dessous de moi. Puis ils s'éloignent, un coup de sifflet nous indique de remonter sur le bateau. Si j'ai bien compris, on va essayer de les suivre. Les revoilà, et nous revoilà à l'eau. J'ai beau chercher, cette fois je ne vois rien... Et pour cause. Coup de sifflet, nous remontons, et on nous explique qu'ils ont changé de direction. Nous rejoignons un autre groupe un peu plus loin, qui tourne déjà autour d'un autre bateau. Apparemment on va essayer de "leur voler leurs dauphins". Notre guide nous explique que nous devons chanter plus fort que les autres pour que les dauphins s'intéressent plutôt à nous. Et à nouveau à l'eau. Cette fois-ci, la sortie est très désagréable, la mer fait des vagues qui atterrissent dans mon tuba, je bois la tasse et cette fois encore, je ne vois rien. J'aurais du m'en tenir à la première plongée.

Dernière remontée à bord, l'eau était très froide et en fait de douche chaude évoquée dans leur prospectus - que je voyais comme une vraie douche, normale quoi -, c'est une douche au tuyau d'arrosage directement dans le col de la combinaison : et bien, l'eau a beau être tiède et non vraiment chaude, par rapport à la température de la mer, ça réchauffe bien bien. Nous retirons ensuite les combinaisons pour nous sécher et nous rhabiller pendant que nous rentrons au port. Il est 13h quand nous accostons. Après un petit pique-nique, je me mets en route pour Nelson, une centaine de kilomètres dont la plus grande partie se fait sur une route de montagne qui tourne, et tourne, avec la mer en contrebas.

À Nelson, déchargement de la valise, et en route : je vais voir la bijouterie de Hans Jensen, qui a forgé l'Anneau Unique, le vrai.

 
Pas si unique que ça, d'ailleurs, parce qu'il y en a de toutes les tailles pour les différentes scènes.
La bijoutière est très accueillante : "Lord of the Rings ? Yes" et voilà qu'elle me sort des anneaux en veux-tu, en voilà. Des lisses, des gravés, des dorés, des argentés, des plaqués, et même... le gros Anneau qui servait pour les gros plans.
 
 
Après un détour courses parce que je n'ai plus rien à manger - on me refile la carte fidélité du magasin -, me revoilà à l'hôtel.

lundi 28 juillet 2014

Voyage en Nouvelle-Zélande, jour 9

Ce matin je charge la valise dans la voiture, fais mon check-out (et récupère ma caution en échange de la clé) et me pose sur l'escalier d'entrée en attendant la navette qui vient me chercher. 8h30, pile à l'heure. Je suis la première, ensuite Jack, notre guide, va chercher les autres : nous serons 6 pour cette balade. Notre première destination : le point de demi-tour de la Ridge Track, que j'avais entamée hier. Nous descendons près d'une rivière et Jack nous montre la scène du film : le rêve de Faramir, qui voit passer la barque qui emporte son frère. Impressionnant, quoique je ne l'aurais sans doute pas reconnue sans avoir vu l'image.
Après quelques photos, nous repartons... vers Rivendell. Au bout de 3 fois en 3 jours, je commence à connaître. Mais cette fois, avec l'explication de Jack, je comprends pourquoi je n'avais pas reconnu le fameux arbre de la photo : 1 arbre dans la scène, 2 arbres en vrai : le tronc d'un côté, les branches de l'autre. Et moi qui essayais de me baser sur la forme des branches pour reconnaître le bon tronc...
Jack nous montre ensuite l'arbre - celui-ci, je l'avais reconnu - où ont été prises les photos promotionnelles de Legolas. A notre tour de poser à présent : on nous prête une cape elfique et une réplique de Dard, l'épée de Bilbon puis de Frodon. Puis comme il pleut - encore -, notre guide nous offre du thé et des petits gâteaux.
Troisième destination, l'Isengard. Nous regardons l'extrait de la scène où Gandalf arrive à Orthanc pour parler à Saroumane après l'anniversaire de Bilbon. Puis le parc. Les deux arbres entre lesquels passe le chemin (et Gandalf) sont bien là. Par contre le pont, non. Pont qui est censé être aussi grand que l'un des arbres, soit dit en passant. Mais en voyant le making-of, surprise : le pont est une maquette miniature, bien placée pour donner une illusion d'optique.
Un peu plus loin dans le même parc, c'est la scène où Gandalf et Saroumane marchent ensemble en parlant de l'Anneau. Seules différences, un arbre qui s'est depuis incrusté sur le devant de la scène, et un buisson disparu puisqu'il n'était là que pour masquer le banc public à gauche de la photo.
Ensuite nous aurions dû aller à la Weta Cave, mais aujourd'hui est un jour férié et ils sont fermés. Heureusement que j'y étais déjà allée, j'avais tout prévu. A la place, Jack nous annonce que nous verrions d'autres lieux : Minas Tirith et le Gouffre de Helm. Tant mieux.

Mais grosse déception : nous roulons sur l'autoroute quand Jack nous dit "à droite, c'était Minas Tirith et Helm's Deep (tournés au même endroit) mais Dry Creek est une carrière et on n'a pas le droit d'y aller". Mais euh ! Ça ne compte pas si on se contente de passer devant.

Nous sommes de retour à Wellington, il est 12h25, le Tour est censé finir dans 5mn, et Jack nous demande "personne n'est pressé ? Bon alors on va voir un dernier lieu". Nous montons dans les hauteurs de Wellington, ça tourne, j'ai mal au coeur. Une fois arrêtés, nous suivons un petit chemin.

Mais dis donc, on dirait bien la route où les Hobbits ont atterri après avoir échappé au père Maggotte et où ils se planquent pour éviter le Cavalier Noir.
Mais oui, c'est bien là ; nous voyons les arbres de la scène, sauf celui dont les racines ont servi de cachette aux Hobbits et qui était un faux.

La navette me redépose ensuite à l'hôtel où je récupère la voiture et file prendre de l'essence avant d'aller au terminal du ferry. Pas de comptoir Hertz pour le retour, je gare la voiture et laisse la clé dans une boîte. Oups, j'ai oublié de récupérer mon ticket de parking que je voulais garder en souvenir. J'arrive au check-in du ferry. Ah bon, ils prennent la valise ? Ça m'arrange, moi qui croyais que j'allais devoir la trimballer pendant 3 heures.

J'attends l'embarquement, il est 13h45, le ferry devait partir à 14h30, sur le ticket il est indiqué 15h, et nous partons à 15h15. Heureusement que je n'avais rien prévu après. Je fais un tour du bateau, un peu dedans, un peu dehors, mais il fait frais et je finis par m'installer à l'intérieur pour lire. Plus on s'éloigne de Wellington, plus le soleil brille.
 
C'est bon signe. Malheureusement plus on s'approche de Picton, plus il disparaît à nouveau. Mais comme il est 18h maintenant, c'est peut-être normal.
 
À l'arrivée, je récupère ma valise au tapis roulant, trouve le comptoir Hertz qui m'envoie au parking : Toyota Yaris à nouveau, blanche cette fois, place 15. Et heureusement que j'ai un numéro de place, parce qu'en arrivant sur le parking... une, deux, trois... sept Toyota blanches... Pas toutes des Yaris, mais je ne fais pas la différence avec la Corolla, ils pourraient me changer le modèle cette nuit que je ne m'en rendrais probablement pas compte.
En route pour l'hôtel... à 600m de là... Mais je suis obligée de prendre la location aujourd'hui. Heureusement que l'hôtel a un parking. Donc 5mn après, me voilà dans ma chambre, avec vue sur la mer... Ou presque parce que vu que je suis au rez-de-chaussée, je ne vois pas grand chose d'ici.

vendredi 25 juillet 2014

Voyage en Nouvelle-Zélande, jour 8

Il y a eu beaucoup de bruit cette nuit, je ne sais pas si c'est spécifique à Noël ou à cet hôtel. Je suis prête plus tôt que prévu... encore. Je pars à 7h pour Kaitoke. Il y a un grand soleil mais il pleut quand même, c'est quoi ce temps ? Et même pas un petit arc-en-ciel à l'horizon ! En tout cas la température est remontée : 18 ce matin contre 11 hier. On sent bien la différence.

Je refais un tour à Rivendell, mais j'ai beau chercher, je ne trouve pas "l'arbre de la photo". Puis je me lance sur la Ridge Track, 3h aller, 3h retour.
Ça monte un peu au début, mais je pense que ça ne va pas durer, celui-ci est censé être plat, c'est marqué dans le prospectus. Mais ça dure, tantôt le chemin qui grimpe, tantôt des escaliers.
 
À chaque pas, mes jambes crient "Pitié, on n'est pas encore remises du Crossing !". Au bout d'une demi-heure de montée, je capitule. 6h de plat, j'aurais pu le faire. 6h de montée, j'aurais pu le faire (je l'ai déjà fait) si je n'étais pas encore si courbaturée. Mais là, non, demi-tour, je redescends. Un petit tour au bord de la rivière, puis je me relance sur le SwingBridge avant de bifurquer sur une petite balade, le Loop Track, une petite boucle dans la forêt qui me ramène au point de départ, le SwingBridge.
Je ne sais pas si c'est le changement de temps, et donc de luminosité, mais je ne retrouve pas cette impression de SDA sur la rivière comme hier. C'est ressemblant mais sans plus.

Puis je change mon programme et retourne à l'hôtel. Je repars en balade, à pieds, dans l'intention de suivre le bord de mer jusqu'à trouver la plage. Coup de chance, je pars au hasard, du style "Ça doit être plutôt par là", et en descendant la rue de mon hôtel, je me retrouve sur le Waterfront, à un endroit différent d'où je suis passée hier. Au choix, gauche ou droite. Allez, je prends gauche. Je longe le bord, plus ou moins proche de la mer, puis qui s'en éloigne le plus en plus (après les quais pour bateaux, les quais pour gros chargements, et ça prend de la place). Avec tout ça, je ne vois même plus la mer, mais au moins je suis toujours sur la même route, ça m'évitera de me perdre sur le retour. De loin je vois d'un coup, plus de bâtiment, je vais me rapprocher à nouveau de l'eau. Sauf qu'en approchant... Impasse... Grille cadenassée.

Bon, tant pis, je suis allée au bout ici, maintenant allons voir de l'autre côté. 45mn aller, 45mn retour, me revoilà sur le quai où je suis arrivée. Finalement je me pose un peu pour profiter du soleil. Je vois des gens passer en débardeur et petit short, avec un bonnet de père Noël, ça me perturbe. Comme s'il y avait un truc qui collait pas. Un marchand de glaces me fait de l'oeil, ses clients passent devant moi et ça me donne envie. Allez, je m'offre une glace pour Noël. Comme celles que j'ai vues passer, glace type à l'italienne plongée dans le chocolat fondu et enrobée de vermicelles colorées. Je me régale, mais en vitesse. Parce que la glace trempée dans le chocolat - chaud - ça fond vite. Très très vite. Je repars ensuite dans l'autre sens, toujours dans l'optique de trouver la plage. Il doit bien y en avoir une. Et effectivement, elle était de ce côté, à 15mn de marche. Pas très grande, un peu de monde, mais pas bondée non plus.
 
 
Mais finalement je ne reste pas longtemps, le vent se lève, et même si je n'en suis pas encore au point d'avoir froid, c'est pas loin, alors je rentre. Il est 15h, je me dis que je vais prendre une douche, je n'ai pas réussi hier : 1 seule douche pour tout l'étage, l'autre étant en dérangement. Beurk... Non, finalement, pas de douche aujourd'hui non plus. Heureusement que j'ai des lingettes. Je me vois dans le miroir, j'ai peur : je suis rouge. Très rouge. Je n'ai pas mis de crème solaire ce matin, j'étais censée passer la journée en forêt. Oups. En plus j'ai la marque des lunettes de soleil, c'est très élégant. Cet après-midi, ce sera donc repos : jeu de cartes et lecture.

Demain je change d'île.


mercredi 23 juillet 2014

Voyage en Nouvelle-Zélande, jour 7

J'étais tellement épuisée hier que je me suis couchée aussitôt après dîner. Ma nuit : 19h30-5h30. Pas mal. Je suis courbaturée de partout. Quand je pense que Frodon et Sam ont fait ça pieds nus. D'un autre côté, eux n'ont pas eu à faire la descente puisque les aigles sont venus les chercher.

Je vais partir pour Kaitoke d'ici un quart d'heure, il faut juste que je charge la voiture, rende les clés et passe prendre de l'essence.

J'ai été interceptée au passage par le gérant qui me dit "dis donc, tu n'as pas payé la navette hier ?" Même pas il me demande si ça s'est bien passé. Alors je lui réponds que non parce que personne ne m'a demandé l'argent et que je ne savais pas à qui le donner. "Oh tu peux me le donner, ça ira." Bon, OK... J'aurais préféré économiser 45$, mais au moins ça m'évite de culpabiliser.

En route, avec un petit détour pour prendre de l'essence, j'ai un long trajet aujourd'hui. L'essence au moins, ça devrait aller, je sais faire, ça change pas d'un pays à un autre... Que tu crois ! Je me retrouve devant la pompe avec ma carte bleue dans la main... et rien dans quoi l'introduire... Ah il faut remplir d'abord et aller payer à la boutique après... enfin je crois. Confirmation du vendeur. Je tente de faire la conversation : "En France on paye directement (avec un geste vers la pompe) alors j'ai pas l'habitude"... Ok, il en a rien à faire, tant pis.

C'est parti pour 308 km, 4h15. Au bout d'une heure, pause pipi (l'avantage ici c'est qu'on trouve des toilettes publiques dans toutes les villes. Au bout d'une autre heure, pause repos (mes yeux picotent, c'est pas bon signe). Ça va mieux, je repars. Bientôt je quitte la State Highway (l'équivalent moitié autoroute, moitié nationale : limitée à 100 km/h, 1 voie de chaque côté sauf quand on arrive sur une ligne de dépassement, pas de terre-plein) pour des routes plus petites, plus sinueuses...

Je me retrouve sur un bidule appelé Akatarawa Road, une route de montagne qui serpente sur 20 km, large comme un sens unique... mais qui ne l'est pas... Limitée à 50 km/h... La blague... Même si c'était en sens unique, je roulerais pas à 50 sur une route pareille, ça zigzague tous les 3 mètres. Et puis bon, c'est la montagne, alors forcément après le bord de la route il y a le vide. Et ai-je précisé qu'il pleuvait ? Depuis 8h30 ce matin ça n'a pas arrêté. Enfin j'arrive au bout, encore un peu d'autoroute et je vois les panneaux annonçant Kaitoke Park.

Mais la pluie ne suffira pas à me faire changer mes plans. Pique-nique (dans la voiture), j'extirpe le blouson de la valise (plus accessible que le k-way qui est rangé de l'autre côté) et en route pour le SwingBridge Track. Durée annoncée : 1h30... Bon, ben finalement, 1h seulement...
Il faudrait vraiment que je traduise les noms de mes randos avant de me lancer, parce qu'apparemment, SwingBridge, ça veut dire "pont en bois et en corde au-dessus de la rivière, qui bouge au moindre mouvement".
Dis donc, cette rivière justement, ça ne serait pas celle où Arwen se débarrasse des Cavaliers Noirs en sauvant Frodon ? Je croyais qu'elle était du côté de Queenstown pourtant.

 
J'arrive au bout après 30mn seulement, et encore, je suis retournée en arrière un moment parce qu'en arrivant sur une route et un bâtiment de traitement des eaux, j'ai cru que j'avais raté un embranchement. Mais non, le Track passait bien par là. Et au bout, un panneau Rivendell me fait de l'œil.
Je tombe sur une toise pour voir la taille de chaque personnage. Je suis plus petite que Gandalf mais, heureusement, plus grande que Gimli.
Plusieurs tables d'orientation, tout est bien indiqué "l'arbre à votre gauche, c'est celui sur cette photo".
Le souci c'est que la photo a 13 ou 14 ans, et même si un arbre ça ne vieillit pas très vite, je ne reconnais pas. Tant pis, de toute façon, je reviens demain, j'aurai peut-être plus d'inspiration. Je retourne au sec dans la voiture et repars, direction Wellington, 1h de route. Et là, j'ai beau savoir qu'à Wellington je vais prendre le ferry pour aller sur l'île du Sud, l'illumination ne se fait qu'au détour d'un virage : Oh, mais il y a la mer !

J'arrive dans la bonne rue, je vois bien l'hôtel (sans vue sur la mer par contre) mais je ne vois pas le parking... Oups, dépassé. Bon, un tour du quartier en plus, avec tous les feux, sens interdits et calages que cela suppose. Ah peut-être cette petite entrée, là ? Ah non, c'est trop petit, et puis au bout c'est marqué "Staff only"... Encore un tour de manège. Cette fois je me pose dans la bonne rue, un peu plus haut, sur un parking payant, et je vais me renseigner à l'hôtel. Si si, c'était bien cette petite entrée, si si, ça passe. Si vous le dites... Heureusement que j'ai qu'une Yaris alors.
Il ne pleut plus, enfin. Je découvre ma chambre puis pars faire mes courses... à l'origine... Parce qu'en voyant un panneau "Waterfront", je décide de faire un détour. Raté, c'est un port et pas une plage.
Je comprends pourquoi la capitale a hérité du surnom de "Windy Welly". Je ne sais pas si c'est dû à la proximité de la mer, mais ça souffle... fort. Puis je vais au supermarché. Il y a du monde. Enfin c'est relatif bien sûr. Pas autant que pour Noël dernier à Carrefour... Mais plus que les quelques supermarchés où je suis allée. Franchement qu'est-ce que c'est que cette idée de faire ses courses un 24 décembre à 16h, les gens n'ont pas autre chose à faire ? Genre emballer des cadeaux ou tartiner des toasts ?

Mon repas de Noël, ce sera thon et carottes... Avec, surprise du chef, un sucre d'orge généreusement offert par le supermarché.

Oups, j'ai oublié de parler de la Weta Cave. C'était cool, j'ai pris beaucoup de photos, mais il y a beaucoup de trucs sous vitrines, donc ça ne passe pas bien. En tout cas, c'était beau mais cher.